mardi 30 octobre 2012

27/ alimentation crue: nouvelle théorie virale


Ayant expérimenté une alimentation naturelle crue pendant de nombreuses années, G.C. Burger constate la quasi disparition de toutes les maladies infectieuses: nez qui coule, rhumes, grippes, bronchites, etc... deviennent un lointain souvenir.

Il développe alors une nouvelle théorie virale où le virus est considéré comme utile, théorise inverse de la théorie pasteurienne où microbes et virus sont considérés comme des agents pathogènes.

Burger émet l'idée que la transmission virale entres êtres humains correspond en réalité à la transmission d'informations concernant des programmes de nettoyage de l'organisme, programmes codés dans les virus en ADN ou ARN.

Dans cette perspective, le virus n'est plus un agent agresseur, mais un morceau de code qui sert aux organismes à effectuer l'élimination des molécules indésirables apportées par l'alimentation cuisinée.

Le virus ne "détourne" pas la machinerie cellulaire pour se reproduire, comme le prétend la médecine officielle, mais au contraire, c'est l'organisme qui veille à la reproduction du virus !

Ce type de maladie s'accompagne de sortie des matériaux indésirables: mucus remontant des poumons, suées, diarrhées, boutons.

L'inflammation permet une bonne circulation des lymphocytes qui peuvent effectuer leur travail de nettoyage.

Bref, la maladie infectieuse est une maladie utile qui participe d'une bonne santé...

Malheureusement, dans le contexte actuel, où les corps sont très intoxiqués par une alimentation presque systématiquement dénaturée, le contrôle par l'organisme de ces travaux de nettoyage n'est pas toujours optimal, et il arrive parfois quelques soucis, notamment la mort du sujet !

Mais si votre vie ne semble pas être en danger, alors il est préférable de ne pas bloquer le déroulement de la maladie, afin que le programme de nettoyage puisse se faire jusqu'à son terme.

Il est donc préférable, si on tient à rester en bonne santé, de ne pas consommer d'antiviraux, antibiotiques ou autres médicaments !









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Burger met en avant une longue série de remarques qui permettent de soutenir que sa théorie n'a rien de farfelue. En voici une liste non exhaustive.

- les théories virales actuelles sont issues d'une époque où l'on se dégageait à peine des superstitions et de la peur des grandes épidémies et de la contagion.
- les hypothèses de l'époque pasteurienne ne sont jamais remises en cause et ne sont plus considérées désormais comme des hypothèses mais comme des vérités indiscutables, ce qui biaise la recherche scientifique.
- il existe de nombreux virus qui ne se manifestent par aucune nuisance
- souvent chez l'homme, la maladie virale se déroule de façon asymptomatique. Dans le cas de la poliomyélite par exemple, les études ont montré que seul un faible pourcentage des infectés subit une atteinte du système nerveux.
- quelque soit le virus, il existe toujours des porteurs sains.
- le virus d'Epstein-Barr par exemple, ne provoque un sarcome de Burkitt que dans un cas sur 10 000.
- d'une manière générale, il existe plus souvent des porteurs sains que des complications graves: Burger estime que des troubles notables n'apparaissent statistiquement parlant pour l'ensemble des maladies infectieuses que dans un cas sur cent. Cela permet d'inverser le modèle classique: la forme asymptomatique de l'invasion virale peut être considérée comme la forme normale d'un phénomène naturel, les formes pathologiques étant des accidents !
- Burger a observé pendant des dizaines d'années chez la population crudivore (quelques milliers de personne), la quasi disparition des formes symptomatiques des maladies infectieuses.
- Les symptômes qui apparaissent au cours d'un processus viral (fièvre par exemple) sont interprétés comme une lutte contre le virus, mais pourraient être interprétés comme étant la difficulté pour l'organisme d'évacuer les molécules étrangères.
- on prétend que c'est le virus qui s'adapte et trouve le moyen de se fixer sur les membranes des cellules puis de pénétrer dans le plasma cellulaire et de détourner la machine génétique à son profit, mais on pourrait tout aussi bien prétendre que c'est la cellule qui procède à la synthèse de diverses particules virales, permettant de transmettre un message génétique aux autres cellules de l'organisme et aux autres individus de l'espèce.
- Cela paraît plus probable que la cellule soit capable de fabriquer un virus doté des protéines qui lui permettent de se fixer sur la membrane des cellules, plutôt que l'inverse, c'est à dire que les virus sachent se doter eux-même de ces protéines.
- De même, une série de mutations explique difficilement la capacité du virus d'intégrer sa propre membrane à celle de la cellule - ce qui nécessite des mécanismes moléculaires complexes - dans la mesure où aucun processus de sélection naturelle ne peut commencer avant que le virus ne soit capable de s'introduire dans une cellule pour se multiplier, et aucun processus de multiplication n'est possible si le virus n'est pas déjà capable de s'introduire dans une cellule. Le phénomène ne peut en principe pas s'amorcer.
- Le phénomène d'intégration de la membrane du virus à celle de la cellule s'explique beaucoup mieux si on admet que dès l'origine, la membrane des virus était dérivée des membranes des cellules.
- l'identité remarquable entre une portion importante de la séquence de nucléotides virale et celle de l'ADN cellulaire, comme on l'observe chez les rétrovirus, paraît difficilement imputable au hasard. En revanche, elle s'explique immédiatement si l'on admet que le rétrovirus, dans un passé plus ou moins lointain, est issu de la cellule.
- Le virus induit dans certains cas un blocage complet de la machinerie cellulaire, les seuls gènes exprimés étant alors les gènes viraux. Mais le blocage des activités normales de certaines cellules ne pose pas de problème particulier à l'organisme si leur nombre reste limité. Et une telle limitation est effectivement assurée dans la plupart des cas.
- Parfois, certains virus provoqueraient la mort des cellules dites "infectées". On peut imaginer que l'organisme sacrifie quelques cellules pour la multiplication virale, ce qui ne provoque pas de lésions si cela reste un phénomène limité.
- tous les problèmes liés aux maladies virales pourraient découler d'une concentration exagérée de molécules étrangères dans l'organisme, stimulant une multiplication elle aussi exagérée du virus responsable de leur élimination.
- la variabilité génétique que l'on observe chez de nombreux virus s'expliquerait par la diversité des classes de molécules étrangères dont ils sont chargés de programmer l'élimination.
- l'organisme est capable de produire de l'interféron, une molécule qui permet de contrôler la multiplication du virus. Si le virus n'est pas utile à l’organisme, comme le veut la thèse officielle, pourquoi se mécanisme de défense ne bloque-t-il pas complètement la multiplication des virus ?
- L'interféron doit probablement plutôt être vu comme un mécanisme de régulation de la reproduction virale, plutôt qu'un mécanisme de défense.
- L'interféron a aussi une autre action: il stimule l'affichage de certaines protéines par certaines cellules. On peut imaginer que la présentation de ces protéines sur les membranes cellulaires est proportionnel à la quantité de molécules étrangères contenues dans la cellule. Si cette quantité est trop importante, la cellule signalée est éliminée par le système immunitaire. Les virus sont eux chargés d'effectué le nettoyage des cellules les moins polluées.
- La conception classique veut que le virus soit pathogène. Il devrait être donc détruit par l'organisme. Or dans la plupart des cas, l'information virale est conservée au sein de la cellule, elle est simplement "masquée", mais avec une possibilité d'être réactivée.
- il est tout à fait cohérent d'imaginer que les infections bactériennes que l'on voit souvent associées aux maladies virales, soient en réalité programmées par l'information virale. En effet, les molécules étrangères rejetées des cellules lors des détoxinations provoquées par les virus, échappent par définition à la vigilance du système immunitaire, puisqu'elles ont pu parvenir jusqu'à l'intérieur des cellules. Leur élimination requiert donc des mécanismes qui n'appartiennent pas à l'organisme lui-même, par exemple l'utilisation d'enzymes bactériens qui seront capables de dégrader les molécules indésirables.
- Ce modèle de raisonnement est en accord par exemple avec ce que l'on sait de la flore bactérienne du tube digestif: là aussi, l'organisme semble avoir été capable de procéder à la "domestication" des bactéries dont les enzymes lui permettent de dégrader des molécules échappant à ses propres enzymes.
- L'évolution plus ou moins grave du processus viral chez les différents individus s'expliquerait par une accumulation plus ou moins importante de molécules étrangères, en fonction des différents régimes alimentaires. La forme souvent symptomatique que prend ce processus viral chez l'homme serait dû à l'éloignement considérable entre l'alimentation moderne et l'alimentation naturelle.
- La multiplication virale étant proportionnelle à l'intoxication du sujet, on comprend que les médecins d'autrefois prescrivaient régulièrement la diète pendant les maladies.
- On comprend aussi mieux pourquoi la sagesse populaire attribue une utilité aux maladies infantiles. L'enfant, doté alors de compléments d'information génétique, sera mieux placé pour se protéger des molécules nocives présentes dans l'alimentation moderne.
- Si on admet que les vaccinations sont effectivement capables d'empêcher la multiplication des virus, alors les vaccinations sont un facteur opposé au maintien d'une bonne santé, puisqu'elles interdisent le nettoyage des organismes.
- Logiquement, si cette nouvelle théorie virale était juste, les animaux vivants dans la nature ne devraient pas développer de processus viraux symptomatiques, puisqu'il ne cuisent pas leurs aliments. Mais il faut aussi tenir compte de la pollution de l'environnement, et de l'accès aux cultures humaines, qui comprennent des plantes mutées ( notamment les céréales ), qui introduisent des quantités appréciables de molécules nouvelles dans le milieu alimentaire naturel.







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alimentation crue (85% orkos ), mes repas crus du 20 au 27 octobre 2012

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vendredi
12h50
690g viande de sanglier
10g moelle d'os
19h00
1,390 kg raisins
220g poires
100g miel

21h25
940g tomates


jeudi
14h15
1,550 kg viande de sanglier
19h30
440g raisins sauvages


mercredi
10h00
280g foie de sanglier
990g viande de sanglier

12h35
260g viande de sanglier
18h00
1,540 kg raisins


mardi
13h30
1,540 kg poires

14h00
60g tomates

14h30
120g noix de cajou



lundi
16h45
180g endives
17h20
240g duku (fruit exotique)

19h30
740g raisins

20h30
180g mâche

21h30
80g oseille


dimanche
13h00
1,360 kg tomates
1,920 kg poires

16h00
320g avocat reed

16h15
690g tomates
170g chirimoyas
17h10
990g dattes barhi fraîches

21h30
240g arachides


samedi
12h45
630g tomates
540g poires
470g mangues

13h50
1,290 kg dattes barhi fraîches
21h25
10g mâche
30g scarole (variété de salade)
70g endives
 

samedi 20 octobre 2012

alimentation crue (70% orkos ), mes repas crus du 14 au 19 octobre 2012

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vendredi
13h00
130g scarole (variété de salade)

14h30
200g mangues

16h00
160g dattes barhi fraîches
17h40
3,000 kg tomates

21h35
410g dattes bahri fraîches


jeudi
14h00
90g endives

14h50
1,510 kg durian
17h30
200g mangues

17h50
360g avocat

18h20
180g dattes barhi fraîches

21h30
200g dattes barhi fraîches


mercredi
15h45
10g noisettes

16h15
50g tomates
18h50
170g tomates
920g raisins

19h30
320g amandes (oléagineux)

22h30
390g miel en pot


mardi
12h40
1,110 kg raisins sauvages
18h50
40g chou fleur


lundi
14h00
30g chou fleur
21h00
890g raisins sauvages


dimanche
11h00
3,960 kg tomates
19h50
340g figues
930g tomates

20h30
880g raisins

21h40
210g miel
 

dimanche 14 octobre 2012

alimentation crue (50% orkos ), mes repas crus du 7 au 13 octobre 2012

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samedi
12h00
1,180 kg tomates

12h45
2,7 kg figues

13h45
690g raisins

14h50
80g amandes (oléagineux)
20h25
1,050 kg raisins

21h30
200g miel


vendredi
12h00
180g poire

13h00
2,510 kg tomates

14h00
160g pollen sec
240g miel lavande en pot
20h30
1,290 kg tomates

21h10
1,910 kg figues


jeudi
12h45
30g tomate
190g figues
20g miel
10g amandes (oléagineux)
60g noix de cajou

14h00
250g viande boeuf bio
20g jaune d'oeuf

17h00
750g tomates

20h00
1,410 kg tomates

22h00
260g miel
340g pollen sec


mercredi
13h05
770g figues
20h15
710g raisins sauvages


mardi
12h50
1,220 kg figues

13h25
300g tomates

14h00
180g jaunes d'oeuf bio
60g amandes (oléagineux)
rien mangé


lundi
12h25
2,8 kg tomates

15h25
2,4 kg figues
rien mangé


dimanche
11h45
2,460 kg tomates

15h00
2,480 kg tomates
20h45
2,530 kg figues

 

dimanche 7 octobre 2012

alimentation crue (50% orkos ), mes repas crus du 30 septembre au 6 octobre 2012

voir Orkos


samedi
15h00
1,980 kg tomates
20h45
450g pollen sec
500g miel en pot lavande


vendredi
11h50
1,510 kg figues

12h50
1,800 kg tomates

15h45
820g figues
20h00
850g raisins


jeudi
12h00
1,060 kg tomates

14h35
150g pollen
160g miel

15h30
800g raisins
rien mangé


mercredi
16h00
1,480 kg tomates
21h15
300g pollen
210g miel

22h30
1,100 kg raisins


mardi
14h00
410g noix de macadamia

16h30
690g pommes
17h00
340g miel


lundi
13h00
720g prunes
17h00
610g raisins

20h30
730g bananes


dimanche
11h50
2,120 kg tomates
17h30
690g figues

18h55
1,840 kg figues